Publié le 24 Juin 2009




"Voici la loi sous laquelle tu veux servir et combattre; si tu peux l'observer, entre; mais si tu ne peux pas, tu es libre, pars."



Le moine est un homme que le Saint Esprit a appelé à abandonner les préoccupations, les désirs et les ambitions des autres hommes, afin de consacrer sa vie entière à chercher Dieu. Mais si le terme nous est familier, la réalité qu'il signifie est un immense mystère.

Car, en fait, personne au monde ne sait de façon précise ce que "chercher Dieu" signifie avant d'avoir soi-même commencé à le faire. Personne ne peut même expliquer à un autre ce que signifie cette recherche si l'autre n'est en même temps éclairé, au fond de son cœur, par l'Esprit. Finalement, l'on ne peut chercher Dieu que si l'on a déjà commencé à Le trouver, si l'on a d'abord été trouvé par Lui : le moine est un homme qui cherche Dieu parce que Dieu l'a trouvé.


En un mot, le moine est l'homme de Dieu. Or puisque tous les hommes ont été créés par Dieu pour pouvoir Le trouver, ils sont tous, en un certain sens, appelés à être des "hommes de Dieu" ; mais ils ne sont pas tous appelés à être moines. Le moine est donc celui qui est appelé à s'adonner exclusivement et parfaitement à l'unique chose nécessaire à tous les hommes : à la recherche de Dieu. D'autres peuvent légitimement chercher Dieu par une voie moins directe, mener une vie droite en ce monde, fonder une famille chrétienne. Le moine écarte ces choses, bonnes en soi, pour aller à Dieu par la route directe. Il se retire du "monde" pour s'adonner entièrement à la prière, à la méditation, à l'étude, au travail, à la pénitence sous le regard de Dieu. Le moine se distingue même entre tous les religieux en ce qu'il se voue essentiellement et exclusivement à la recherche de Dieu, plutôt qu'à la recherche des âmes pour Dieu.


Il nous faut cependant admettre que la vocation monastique tend à être, pour le monde moderne, un problème et un scandale. Dans les civilisations essentiellement religieuses, comme celles des Indes ou du Japon, la vocation monastique est plus ou moins admise. Dans une société tout entière orientée vers autre chose que les soucis éphémères des affaires ou des plaisirs, personne ne s'étonne que des hommes consacrent leur vie à un Dieu invisible. Mais dans une civilisation matérialiste qui est fondamentalement irréligieuse, le moine est incompréhensible parce qu'il ne " produit rien" . Sa vie semble complètement inutile. Les chrétiens eux-mêmes sont parfois troublés par cette apparente "inutilité" du moine, et croiraient facilement qu'un monastère est une sorte de dynamo qui, sans "produire" elle-même la grâce, procure au monde cette denrée spirituelle infiniment précieuse.


Les premiers Pères du monachisme ne s'occupaient pas de ces arguments, pour valides et nécessaires qu'ils fussent. Ils ne trouvaient pas que la recherche de Dieu eût besoin d'être défendue, ou plutôt ils comprenaient que si les hommes ne sentent pas qu'il faut chercher Dieu avant tout, aucune autre défense du monachisme ne pourra les convaincre.

Dieu doit-Il donc être cherché ? La loi la plus profonde de l'être humain est son besoin de Dieu, son besoin de vie. Dieu est la Vie. "En Lui était la Vie, et la Vie était la lumière des hommes, et la lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l'ont pas comprise." (Jean 1). Le besoin le plus profond de nos ténèbres est de comprendre la lumière qui brille au milieu d'elles. Aussi Dieu nous a-t-Il donné, comme premier commandement : "Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toutes tes forces." La vie monastique n'est donc pas autre chose que la vie de ceux qui ont pris terriblement au sérieux le premier commandement, et n'ont, dans les termes de Saint Benoît, "rien préféré à l'Amour du Christ". (...) Le moine cherche la plénitude de la vie et la maturité totale de la foi chrétienne. Pour lui, " vivre c'est le Christ".


Pour être libre de la liberté des enfants de Dieu, le moine renonce à sa volonté, à ses droits aux possessions terrestres, à l'amour de ses aises et de son confort, à son orgueil, au désir de fonder un foyer, à la libre disposition de son temps, à la faculté d'aller où il veut et de vivre selon son jugement. Il vit seul, pauvre, silencieux, obéissant. Pourquoi ? À cause de ce qu'il croit, de la parole du Christ qui a dit : "En vérité, je vous le dis, nul n'aura quitté maison, femme, frères, parents ou enfants à cause du Royaume de Dieu, qui ne reçoive bien davantage en ce temps-ci, et, dans le temps à venir, la vie éternelle."

 

Thomas Merton.



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Publié le 24 Juin 2009

La prêtrise séduit peu : il n'y aura en 2009 que 90 ordinations de prêtres destinés à exercer le service de Dieu dans les paroisses, pas assez pour compenser les départs de leurs anciens, atteints par la retraite ou la mort.Dix nouveaux prêtres seront ordonnés samedi à Notre-Dame. En 2008, il y avait eu également 10, et 101 pour l'ensemble de la France. Depuis 1995, le nombre des ordinations oscille entre 142 (2000) et 90 (2004). Chaque année, de nombreux diocèses n'en célèbrent aucune.



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Publié le 24 Juin 2009

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Publié le 23 Juin 2009











snif...

Ils ne sont plus
Les beaux jours de l'amitié
Tous mes amis
Ont quitté les cotonniers
Ils sont partis
Au pays du grand repos
J'entends leurs douces voix chanter
Eho vieux Joe !

Me voilà, Me voilà, tout brisé par les travaux,
J'entends leurs douces voix chanter Eho vieux Joe !

Pourquoi pleurer,
Quand mon cœur est toujours gai ?
Pourquoi gémir ?
Ils ne peuvent revenir.
Depuis longtemps
Ils sont tous partis là-haut
J'entends leurs douces voix chanter
Eho vieux Joe !

Me voilà, Me voilà, tout brisé par les travaux,
J'entends leurs douces voix chanter Eho vieux Joe !

Où sont-ils donc,
Les amis qu'on aimait tant ?
Et ces enfants
Qu'on berçait si doucement ?
Ils sont heureux !
Près d'eux je serai bientôt.
J'entends leurs douces voix chanter
Eho vieux Joe !

Me voilà, Me voilà, tout brisé par les travaux,
J'entends leurs douces voix chanter Eho vieux Joe !












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Publié le 23 Juin 2009





Close every door to me !
Fermez chaque porte à moi,
A land of our own
il nous a été promis
Notre propre terre, loin de ce monde...



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Rédigé par philippe

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Publié le 23 Juin 2009





"J'ai cru, c'est pourquoi j'ai parlé.
J'ai cru, c'est pourquoi j'ai parlé! nous aussi nous croyons, et c'est pour cela que nous parlons, "



2Corinthiens 4.13

hermas.info




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Rédigé par philippe

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Publié le 23 Juin 2009



Notre-Dame du Bien-Mourir, Mère de Jésus et notre Mère, c'est avec la simplicité des petits enfants que nous venons à vous pour vous confier nos derniers instants et notre mort. Avec Jésus, vous avez assisté saint Joseph, votre époux, lors de son trépas; au pied de la Croix, vous avez reçu le dernier soupir de notre Sauveur, votre divin Fils; désormais, nous en avons l'assurance, vous êtes auprès de chacun de vos enfants, avec la sollicitude de votre coeur maternel, pour lui faire franchir le seuil de la mort et l'introduire dans l'éternité.

Mais pour que nous puissions affronter dans la paix cette ultime épreuve, si rude à notre nature, soyez aussi pour Nous Notre Dame du Bien Vivre. Aidez-nous, nous vous en supplions, à demeurer fidèles, jour après jour aux engagements de notre baptême, aux enseignements de la foi, à la pratique de la charité. Pour y parfenir nous nous appuyons avec la certitude de l'espérance qui ne déçoit pas, sur votre intercession toute puissante.

Notre-Dame du Bien Mourir, recevez déjà notre action de grâces que nous vous redirons éternellement, et daignez continuer à prier pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort.

Amen.

aux intentions de Clear Creek.
pour dom François de Feydeau.
o.s.b. sous-prieur.
st Benoît - St François priez pour lui
Coeur sacré de Jésus, j'ai confiance en vous.


nous vous confions tous les moines
de Fontgombault et votre serviteur.
UDP.
+

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Rédigé par philippe

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Publié le 22 Juin 2009





 
Je vais chanter pour vous, au début de chaque jour
Je vais chanter pour toujours, chanter pour vous 
...
Heureux pour l'amour qui est à venir
Ouvrant les yeux je vous suivrai.
Heureux de voir, heureux d'être vôtre
Faisant écho à ce que vous dites
Brillant dehors ce que vous êtes

Hors de l'obscurité, dans votre lumière ,
Je vais chanter pour vous à la lumière de chaque jour
Je vais chanter pour toujours, chanter pour vous
Dans toutes les choses je fais dans le midi de ma vie
Je vais chanter pour toujours, chanter pour vous !
 


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Rédigé par philippe

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Publié le 22 Juin 2009




Nous venons d'écouter l'Evangile de la tempête apaisée, que l'on a rapproché d'un texte bref mais incisif du Livre de Job, où Dieu se révèle comme le Seigneur de la mer.

Jésus menace le vent et ordonne à la mer de se calmer, il l'interpelle comme si celle-ci s'identifiait au pouvoir diabolique. En effet, selon ce que nous disent la première Lecture et le Psaume 106/107, dans la Bible la mer est considérée comme un élément menaçant, chaotique, potentiellement destructeur, que seul Dieu, le Créateur, peut dominer, gouverner et apaiser.

Il existe cependant une autre force - une force positive - qui anime le monde, capable de transformer et de renouveler les créatures : la force de l'«amour du Christ» (2 Co 5, 14), comme l'appelle saint Paul dans la Deuxième Lettre aux Corinthiens : ce n'est donc pas essentiellement une force cosmique, mais divine, transcendante.

Il agit également sur le cosmos mais, en lui-même, l'amour du Christ est un pouvoir «autre», et le Seigneur a manifesté cette altérité transcendante dans sa Pâque, dans la «sainteté» du «chemin» qu'Il a choisi pour nous libérer de la domination du mal, comme cela s'était produit pour l'exode d'E gypte, lorsqu'il avait fait sortir les juifs à travers les eaux de la Mer Rouge. «O Dieu - s'exclame le psalmiste - la sainteté est ton chemin... Par la mer passait ton chemin / tes sentiers, par les eaux profondes» (Ps 77/76, 14.20). Dans le mystère pascal, Jésus est passé à travers l'abîme de la mort, car Dieu a ainsi voulu renouveler l'univers : à travers la mort et la résurrection de son Fils «mort pour tous», pour que tous puissent vivre «pour celui qui est mort et ressuscité pour eux» (2 Co 5, 16).

Le geste solennel de calmer la mer en tempête est clairement le signe de la domination du Christ sur les puissances négatives et incite à penser à sa divinité : «Qui est-il donc - se demandent émerveillés et craintifs les disciples -, pour que même le vent et la mer lui obéissent » (Mc 4, 41).

 Leur foi n'est pas encore solide, elle est en train de se former ; c'est un mélange de peur et de confiance ; l'abandon confiant de Jésus au Père est en revanche total et pur. C'est pourquoi Il dort pendant la tempête, absolument en sécurité entre les bras de Dieu.

Mais le moment viendra où Jésus éprouvera la peur et l'angoisse : lorsque son heure viendra, il sentira sur lui le poids des péchés de l'humanité, comme une marée montante qui va s'abattre sur Lui. Il s'agira alors d'une tempête terrible, non pas d'une tempête cosmique, mais spirituelle. Ce sera le dernier assaut extrême du mal contre le Fils de Dieu.

Mais en cette heure, Jésus ne douta pas du pouvoir de Dieu le Père et de sa proximité, même s'il dut faire pleinement l'expérience de la distance de la haine à l'amour, du mensonge à la vérité, du péché à la grâce. Il fit l'expérience de ce drame en lui-même de manière déchirante, en particulier au Gethsémani, avant son arrestation, et ensuite durant toute sa passion, jusqu'à sa mort en croix. En cette heure, Jésus fut, d'une part, entièrement un avec le Père, pleinement abandonné à Lui ; mais, de l'autre, en tant que solidaire avec les pécheurs, il fut comme séparé et se sentit comme abandonné par Lui.

Certains saints ont vécu intensément et personnellement cette expérience de Jésus.

Padre Pio da Pietrelcina est l'un d'eux. Un homme simple, d'origine humble, «saisi par le Christ» (Ph 3, 12) - comme l'apôtre Paul l'écrit de lui-même - pour en faire un instrument élu du pouvoir éternel de sa Croix : pouvoir d'amour pour les âmes, de pardon et de réconciliation, de paternité spirituelle, de solidarité effective avec ceux qui souffrent. Les stigmates, qui marquèrent son corps, l'unirent intimement au Crucifié-Ressuscité. Authentique disciple de saint François d'Assise, il fit sienne, comme le Poverello d'Assise, l'expérience de l'apôtre Paul, telle qu'il la décrit dans ses Lettres : «Avec le Christ, je suis fixé à la croix ; je vis, mais ce n'est plus moi, c'est le Christ qui vit en moi» (Ga 2, 20) ; ou bien : «Ainsi la mort fait son œuvre en nous, et la vie en vous» (2 Co 4, 12). Cela ne signifie pas aliénation, perte de personnalité : Dieu n'annule jamais l'être humain, mais le transforme avec son Esprit et l'oriente au service de son dessein de salut.

 
Padre Pio conserva ses dons naturels, et aussi son tempérament , mais il offrit chaque chose à Dieu, qui a pu s'en servir librement pour prolonger l'œuvre du Christ : annoncer l'Evangile, remettre les péchés et guérir les malades dans le corps et l'esprit.

Comme ce fut le cas pour Jésus, Padre Pio a dû soutenir la vraie lutte, le combat radical non contre des ennemis terrestres, mais contre l'esprit du mal (cf. Ep 6, 12).

Les plus grandes «tempêtes» qui le menaçaient étaient les assauts du diable, dont il se défendait avec l'«armure de Dieu», avec «le bouclier de la foi» et «l'épée de l'Esprit, c'est-à-dire la parole de Dieu» (Ep 6, 11.16.17). Restant uni à Jésus, il n'a jamais perdu de vue la profondeur du drame humain, et c'est pour cela qu'il s'est offert et a offert ses nombreuses souffrances, et il a su se prodiguer pour le soin et le soulagement des malades, signe privilégié de la miséricorde de Dieu, de son Royaume qui vient, qui est même déjà dans le monde, de la victoire de l'amour et de la vie sur le péché et sur la mort. Guider les âmes et soulager les souffrances : ainsi peut-on résumer la mission de saint Pio da Pietrelcina, comme l'a dit également à son propos le serviteur de Dieu, le Pape Paul VI : «C'était un homme de prière et de souffrance» (Aux pères capitulaires capucins, 20 février 1971).

Chers amis, frères mineurs capucins, membres des groupes de prière et tous les fidèles de San Giovanni Rotondo, vous êtes les héritiers de Padre Pio et l'héritage qu'il vous a laissé est la sainteté. Dans une de ses lettres, il écrit : «Il semble que Jésus n'ait pas d'autre souci à l'esprit que celui de sanctifier votre âme» (Epist. II, p. 155).

Telle était toujours sa première préoccupation, son inquiétude sacerdotale et paternelle : que les personnes reviennent à Dieu, qu'elles puissent faire l'expérience de sa miséricorde et, intérieurement renouvelées, puissent redécouvrir la beauté et la joie d'être chrétiens, de vivre en communion avec Jésus, d'appartenir à son Eglise et de pratiquer l'Evangile.

Padre Pio attirait sur la voie de la sainteté grâce à son propre témoignage, en indiquant par l'exemple le «chemin» qui conduit à celle-ci : la prière et la charité.

Avant tout la prière. Comme tous les grands hommes de Dieu, Padre Pio était lui-même devenu prière, corps et âme. Ses journées étaient un rosaire vécu, u ne méditation et une assimilation continues des mystères du Christ en union spirituelle avec la Vierge Marie. C'est ainsi que s'explique la comprésence singulière en lui de dons surnaturels et de qualités humaines. Et tout atteignait son sommet dans la célébration de la Messe : là il s'unissait pleinement au Seigneur mort et ressuscité.

De la prière, comme d'une source toujours vive, jaillissait la charité.

 
L'amour qu'il portait dans son cœur et qu'il transmettait aux autres était plein de tendresse, toujours attentif aux situations réelles des personnes et des familles. En particulier à l'égard des malades et des personnes qui souffrent il nourrissait la prédilection du Cœur du Christ, et c'est précisément de celle-ci qu'a pris origine et forme le projet d'une grande œuvre consacrée au «soulagement de la souffrance&r aquo;.

On ne peut pas comprendre ni interpréter comme il se doit cette institution si on la sépare de sa source d'inspiration, qui est la charité évangélique, animée à son tour par la prière.




Très chers amis, Padre Pio repropose tout cela aujourd'hui à notre attention.

Les risques de l'activisme et de la sécularisation sont toujours présents ; c'est pourquoi ma visite a également pour de vous confirmer dans la fidélité à la mission héritée de votre bien-aimé père. Beaucoup d'entre vous, religieux, religieuses et laïcs, êtes tellement pris par les mille occupations requises par le service aux pèlerins, ou aux malades de l'hôpital, que vous courez le risque de négliger la chose vraiment nécessaire : écouter le Christ pour accomplir la volonté de Dieu.

 Lorsque vous vous apercevez que vous êtes proches de courir ce risque, regardez Padre Pio : son exemple, ses souffrances ; et invoquez son intercession, pour qu'il obtienne du Seigneur la lumière et la force dont vous avez besoin pour poursuivre sa mission imprégnée d'amour pour Dieu et de charité fraternelle. Et du ciel, qu'il continue à exercer cette paternité totalement spirituelle qui l'a distingué au cours de son existence terrestre ; qu'il continue à accompagner ses confrères, ses fils spirituels et toute l'œuvre qu'il a commencée.

Avec saint François, et la Vierge, qu'il a tant aimée et faite aimer dans ce monde, qu'il veille sur vous tous et vous protège toujours. Et alors, même dans les tempêtes qui peuvent se lever à l'improviste, vous pourrez faire l'expérience du souffle de l'Esprit Saint, qui est plus fort que tout vent contraire et qui pousse la barque de l'Eglise et chacun de nous.

Voilà pourquoi nous devons toujours vivre dans la sérénité et cultiver la joie dans notre cœur, en rendant grâce au Seigneur. « Son amour est pour toujours » (Psaume responsorial). Amen !

Benoît XVI

© Copyright du texte original en italien : Librairie Editrice du Vatican
Traduction : Zenit

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Publié le 22 Juin 2009

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