Publié le 23 Septembre 2016

 

 

 

 

la chapelle du village, mais le curé dort !

 

ciel de petit Placide ...

 

 

 

 

"Donne la paix, Seigneur à ceux qui espèrent en toi. "

 

le dimanche bénédictin par excellence...

 

"Pax est la devise des bénédictins. Cette paix, je vous la souhaite non celle de la terre, éphémère, mais celle de Dieu qui dure pour l'éternité et qui est un don de Dieu.

Que le Seigneur vous bénisse et Notre-Dame vous garde.

En me confiant à votre prière."

+ fr Jean Pateau abbé.

 

 

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 23 Septembre 2016

 

 

ND de la merci des amis facebookiens, de ceux qui me soutiennent dans leurs prières.

pour la vie tout simplement, le soleil, les jours heureux quoi. du petit foetus - 3 mois  (sûrement un petit Benoît)

des moines, on a plein de choses à dire merci, quand on y pense !

d'être jeune et beau . pas donné à tout le monde !

!

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 23 Septembre 2016

 

Shay Ottolenghi - Jerusalem Ballet
photo © Sila Avvakum

il s'en passe dans le ciel du petit Placide décidément ! même des étoiles !

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 23 Septembre 2016

 

 

" Ami, comment es-tu entré ici sans avoir un habit de noce ? "

 

Jésus, dans l’Evangile, nous parle de la réponse qui est donnée à l’invitation de Dieu — représenté par un roi — à participer à son banquet (cf. Mt 22, 1-14). Les invités sont nombreux, mais il arrive une chose inattendue: ils se refusent de participer à la fête, ils ont autre chose à faire; certains accueillent même l’invitation avec mépris. Dieu est généreux à notre égard, il nous offre son amitié, ses dons, sa joie, mais souvent nous n’accueillons pas ses paroles, nous montrons plus d’intérêt pour d’autres choses, nous mettons à la première place nos préoccupations matérielles, nos intérêts. L’invitation du roi rencontre même des réactions hostiles, agressives. Mais cela ne freine pas sa générosité. Il ne se décourage pas, et il envoie ses serviteurs inviter beaucoup d’autres personnes. Le refus des premiers invités a comme effet l’extension de l’invitation à tous, jusqu’aux plus pauvres, laissés-pour-compte et déshérités. Les serviteurs réunissent tous ceux qu’ils trouvent, et la salle se remplit: la bonté du roi n’a pas de limites et à tous il est donné la possibilité de répondre à son appel. Mais il y a une condition pour rester à ce banquet de noces: porter l’habit nuptial. Et en entrant dans la salle, le roi découvre que certains n’ont pas voulu l’endosser et, pour cette raison, ils sont exclus de la fête. Je voudrais m’arrêter un moment sur ce point avec une question: comment se fait-il que ce convive a accepté l’invitation du roi, est entré dans la salle du banquet, que la porte lui a été ouverte, mais qu’il n’a pas mis l’habit nuptial ?

 

Qu’est-ce que cet habit nuptial ? Lors de la Messe in Cena Domini de cette année, j’ai fait référence à un beau commentaire de saint Grégoire le Grand à cette parabole. Il explique que ce convive a répondu à l’invitation de Dieu à participer à son banquet, il a en quelque sorte la foi, qui lui a ouvert la porte de la salle, mais il lui manque quelque chose d’essentiel : l’habit nuptial, qui est la charité, l’amour. Et saint Grégoire ajoute : «Chacun de vous, donc, qui, dans l’Eglise, a la foi en Dieu, a déjà pris part au banquet de noces, mais il ne peut pas dire avoir l’habit nuptial si il n’a pas en lui la grâce de la charité» (Homilia 38, 9: PL 76, 1287).

Et ce vêtement est ourdi symboliquement de deux bois, l’un en haut et l’autre en bas : l’amour de Dieu et l’amour du prochain (cf. ibid. 10: PL 76, 1288). Nous sommes tous invités à être des convives du Seigneur, à entrer avec la foi à son banquet, mais nous devons nous revêtir et conserver en nous l’habit nuptial, la charité, vivre un profond amour pour Dieu et pour notre prochain. […]

 

Benoît XVI

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 23 Septembre 2016

 

 

ce matin, j'ai prié pour vous.. en union avec le diocèse.. pour papa Alexandre, tous ceux que j'aime,  hu hu hu .

 

Né au village du Port, à Saint-Hilaire-de-Talmont (aujourd'hui Talmont-Saint-Hilaire), le 23 septembre 1839, Pierre-Henri Dorie fait ses premières études au petit séminaire des Sables d'Olonne dont les professeurs donnent de leur élève cette appréciation : « dispositions ordinaires, bon esprit, bon caractère, vocation presque certaine ». Il entre au grand séminaire de Luçon en octobre 1860, puis est admis au séminaire des Missions Etrangères de Paris, le 13 août 1862. Il y est ordonné prêtre le 21 mai 1864.

 

Avec une très grande joie, il reçoit son affectation pour la Mission de Corée, terre interdite aux étrangers. Il y aborde en cachette, loin de Séoul, après un voyage long, épuisant et plein de dangers. C'était le 26 mai 1865. Peu après, il rencontre à Séoul le vicaire apostolique, Mgr Siméon Berneux, qui l'affecte au village de Son-Kol, où il passera les huit mois de sa courte vie de missionnaire.

 

La plus sanglante persécution de Corée éclate alors où seront pris, torturés et décapités, avec de très nombreux Coréens, neuf sur douze des prêtres qui travaillent à ce moment en Corée. Pierre-Henri Dorie est arrêté à Son-Kol, le 23 février 1866. Emmené à Séoul, il sera décapité aux portes de la ville le 8 mars 1866, le même jour que Mgr Berneux et les pères Just de Bretonières et Louis Beaulieu.

 

Béatifié à Rome le 6 octobre 1968, il est l'un des cent trois martyrs de Corée canonisés à Séoul le 6 mai 1984 par le pape Jean-Paul II, à l'occasion de la célébration du deux-centième anniversaire de la naissance de l'Eglise de Corée.

 

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 23 Septembre 2016

Rédigé par Philippe

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Publié le 22 Septembre 2016

 

 

priez pour nous .

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Rédigé par Philippe

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Publié le 22 Septembre 2016

 

  très sympa son papa Alexandre, fait partie  du fans'club, on s'aime beaucoup tous les deux...

... Bravo Georgy. !

 

Georgy Ibatulin tiene 14 años. Ha nacido en Tambov a 500 kilómetros de Moscú. En la actualidad vive en Voronezh, en el centro de la parte europea de la Federación Rusa. Toca el violín y un poco el piano. Comenzó sus estudios en la Escuela de Artes №6, luego continuó en la Escuela de Artes №2, donde está estudiando actualmente. Sus maestros principales son su profesora, Geladze Irina Petrovna, y su padre.

– ¿Qué es la música clásica para ti?

La música clásica para mí significa muchos: la alegría más grande, los sentimientos profundos, la comunicación con los amigos, la posibilidad de estar en contacto con un gran arte. 

– ¿Por qué te gusta tanto la música clásica? 

La música clásica está conmigo desde mi nacimiento, porque mis padres, abuelos, mi hermana mayor, todos son músicos. Pero me enamoré de la música verdaderamente cuando he comenzado a tocar el violín

– ¿Cuál es el autor que más te gusta interpretar? ¿Por qué?

Me gusta más la música rusa: de Tchaykovsky y Rajmáninov.

– ¿Cómo es el instrumento en el que te has especializado? ¿Qué te gusta de él?

El violín parece a voz humana, es muy expresiva, posee un timbre muy hermoso. Únicamente hay que saber tocar bien.

– ¿Qué mensaje le enviarías a otros chicos jóvenes para que escuchen música clásica y acudan a veros en los conciertos que vais a dar en Santiago de Compostela? 

En el concierto intentaré demostrar toda la belleza de la música, y para que la misma comunique con todo el mundo, independientemente de la edad.

– ¿Qué esperas de tu participación en el V Festival Peregrinos Musicales?

Yo nunca estuve en España, espero quedarme impresionado.

– Si imaginas tu vida como músico…, ¿qué ves o cómo te lo imaginas?

Me gustaría ser solista, pero hay que trabajar muchísimo para esto.

– ¿Cuál es el siguiente paso en tu carrera musical? 

Me esperan algunos actuaciones importantes en el próximo futuro. Me gustaría preparar algo digno. Me siento más próximo a los compositores de los siglos XVIII y XIX.

—————

GEORGY IBATULIN (Tambov, 18 de febrero de 2001). A los seis años comienza sus estudios de violín. Desde 2010 estudia en la Escuela de Arte Infantil nº 2 en Voronezh (Rusia), con la profesora I. Geladze.

Después de ganar recientemente el XV Concurso Internacional de TV y Radio el Cascanueces, tiene programada una agenda repleta de conciertos para los próximos meses, con actuaciones en diversos eventos y festivales de gran importancia. A pesar de que el repertorio de Georgy está en constante expansión, sus compositores favoritos son Bach, Mozart, Brahms, Tchaikovsky e Rachmáninov. Actúa en ocasiones en dúo con su hermana mayor, también violinista

Además de la música, a Georgy le encanta el deporte: juega al fútbol y al hockey sobre hielo, pero también practica esquí y patinaje. Le gusta mucho la fotografía de aves y coleccionar campanas.

En el futuro, Georgy sueña con convertirse en un gran solista, para preservar y continuar la tradición de cuerda rusa, como lo hicieron anteriormente sus ídolos: Oystrah, Rostrópovich, Kogan, Tretyakov, Spívakov o Bashmet.

Georgy resultó premiado con la bolsa de la Fundación Mstislav Rostrópovich, así como con la bolsa Ivetta Voronova, de la Fundación The New Names.

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Rédigé par Philippe

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Publié le 22 Septembre 2016

Rédigé par Philippe

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Publié le 21 Septembre 2016

Rédigé par Philippe

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