Publié le 12 Avril 2015

skype emoticons smile

  dimanche in albis Wiener forme très très  extraordinaire. 

 

 

 

  ben on est gâté; avec celle de  Daniel  magnifiquement parfait ! où l'art de trouver les plus belles choses. voix magnifiques... Skype emoticons-37-clapping Skype emoticons-37-clapping Skype emoticons-37-clapping Skype emoticons-37-clapping

Haydn Wiener Sängerknaben : splendide ! très belle messe.

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Wiener Sängerknaben

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Rédigé par Philippe

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Publié le 11 Avril 2015

 

 

Tout simplement splendide ! phénoménal, c'est Daniel quoi...

quel cadeau . merci Daniel pour ces moments de bonheur. quand on sait qu'il n'aura que 17 ans au mois de décembre. A peine la vidéo démarre ça y est, on est rentré dans ton univers magique.  fabuleux, mon cadeau pascal. merveilleux de grâce, de beauté, de gentillesse; ça se voit sur facebook de toute façon communicatif et relationnel et du charme en prime. La noblesse, la classe quoi de ces grandes familles de Russie. Quand j'ai vu la vidéo j'en croyais pas mes yeux et j'ai explosé de joie .

quel instant d'émotion et de bonheur intenses. On voudrait que la vie s'arrête à ces rares moments magiques si solennels qui nous font oublier toute la médiocrité la griserie du quotidien.    du jamais vu peut-être parce qu'on connait indirectement.  De la grande et belle musique comme j'aime.  congratulations, tu as fait un homme heureux avec une fin magistrale digne des plus grands de la planète. Je ne me suis pas trompé dans mes amis, même si la distance est là mais la musique brise tant de frontières. Quand j'aurai mes moments de bluzz je regarderai la vidéo les hauts parleurs à fond la caisse. hier soir j'ai écouté plusieurs fois..

skype emoticons smile

Daniel Kharitonov a remporté le Grand Prix au piano Premier Concours International de Moscou Krainev. Dans la Maison Internationale de Musique de Moscou a eu lieu la finale du groupe senior. Il a été suivi par cinq concurrents de la Russie à l'âge de 14-18 ans.

16 ans musicien est considéré comme l'un des jeunes pianistes les plus prometteurs et les plus recherchés en Russie. Daniel Kharitonov - lauréat du concours internationaux,   . Participation à deux fois et il a pris en 2010, a remporté l'or. Il avait déjà parlé avec les plus grands orchestres russes, tournées à l'étranger. En 2013 agi de la "Carnegie Hall" à New York, et a été salué par les critiques américains. Nous pouvons dire que la victoire du concours Daniel Kharitonov Krainev était pour beaucoup attendu.

 

photo d'une rareré impréssionnant , ça c'est Daniel.

 

 

 

Даниил Харитонов Skype emoticons-37-clapping Skype emoticons-37-clapping Skype emoticons-37-clapping Skype emoticons-37-clapping

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Rédigé par Philippe

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Publié le 11 Avril 2015

Seigneur, puissiez-vous demeurer avec nous quand tombera le soir, quand commencera la lutte qui mène à la victoire Soyez "l'Hôte apaisant de notre âme".  Faites que " nous vivions nous aussi dans une vie nouvelle. "

"Heureux sont ceux qui reconnaissent le Christ, dit st Laurent de Brindisi. Ils trouvent un trésor d'une valeur infinie! C'est seulement quand la foi des disciples fut ravivée et leur coeur brûlant d'amour, quand ils furent à table avec lui que Jésus se fit reconnaître. Lorsqu'ils le pressèrent de rester avec eux, il accéda à leur désir."

A nous aussi, le Christ se révèlera si notre foi et notre amour sont ardents; il restera avec nous si nous désirons sa présence d'un coeur brûlant.

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Reste avec nous, Seigneur, car déjà le soir tombe et le jour est proche de son terme !"

Cette parole ne s'applique pas seulement à la soirée du jour, à cette heure où nous sommes réunis, elle ne s'applique pas seulement à la soirée de la vie de chacun de nous. Mais, plus profondément encore, à la soirée du monde. Saint Jean ne nous dit-il pas, dans sa première épître : "Voici venue la dernière heure!". Et saint Paul dit également : "Le temps se fait court !" et c'est pourquoi il nous invite à vivre sans nous attacher à tout ce dont nous vivons, à "posséder comme ne possédant pas, à nous réjouir comme ne nous réjouissant pas." Oui, nous sommes, non pas aujourd'hui plus particulièrement, non pas en cette année parce que tel ou tel évènement semblerait plus grave et que nous serions tentés de le majorer, nous sommes depuis la mort et la résurrection du Christ, dans les derniers temps.

C'est-à-dire que le monde a atteint, d'une certaine manière, son terme.

L'achèvement du monde, la plénitude du monde est une chose acquise, dans le sacrifice accompli du Christ. Désormais, c'est la dernière du monde et ce qui reste, c'est l'usure de ce monde.

Les évènements plus ou moins douloureux, plus ou moins inquiétants, que nous connaissons ici ou là, à travers cet univers dans lequel nous vivons, ces évènements qui ne sont peut-être pas plus graves que ceux qui ont été vécus en d'autres siècles, ces évènements marquent l'usure de ce monde qui, petit à petit, se désagrège, qui, petit à petit, va vers sa perte.

Il y a un mystère de l'entropie spirituelle du monde, de cette déperdition d'énergie.

Cette usure du monde, qui est une usure biologique, une usure cosmique, n'est pas en même temps une croissance spirituelle. Ce n'est pas une marche vers le Royaume d'une manière triomphale, comme s'il y avait un progrès spirituel qui allait croissant. Le Christ nous a dit : "Quand le Fils de l'Homme reviendra sur la terre, trouvera-t-il encore la foi ?"

Et il semble bien, effectivement, que le nombre de ceux qui, explicitement, croient au Christ, confessent leur foi au Christ, n'aille pas en augmentant, mais plutôt en se rétrécissant, et que, après des périodes où l'on a pu croire à une expansion conquérante de l'Église à travers l'univers, il semble que nous soyons contraints, aujourd'hui, de nous rendre compte que c'est un mystère d'un petit groupe qui est, peut-être un ferment, peut-être une semence, mais une petite semence, une petite quantité.

Et autour de nous, ce qui est frappant, c'est non pas seulement l'hostilité, non pas la haine à l'égard du Christ, mais plus encore l'indifférence. Ces masses innombrables de nos frères, ici à côté de nous, que nous croisons chaque jour dans la rue, avec qui nous travaillons, à côté de qui nous vivons, que peut-être nous fréquentons, voire que nous aimons, et pour qui le Christ n'a aucun sens, n'a pas de signification. Tout dans leur vie, leurs peines, leurs joies, leur idéal, ce qui les enthousiasme, leur vie politique, professionnelle, familiale se déroule absolument en dehors du Christ, en dehors de Dieu, sans aucun rapport, sans aucune référence à Lui.

C'est bien, en un certain sens, cette usure du monde et pas seulement une usure cosmique, mais aussi une usure spirituelle, une usure qui va vers la mort.

Certes, le Christ est venu pour nous le révéler, cette mort n'est pas une fin. Au-delà de cette mort, il y a une résurrection. Au-delà de l'usure de ce monde, il y a le monde nouveau. Au-delà de l'apparente incrédulité des hommes, il y a cette aspiration mystérieuse dont ils ne sont peut-être même pas conscients et qui les entraîne, non pas malgré eux, mais un peu en dehors d'eux-mêmes, au-delà de ce qu'ils sont capables de connaître, de désirer. Certes, il y a cette espérance qui est plus forte que les apparences négatives, il y a cette promesse du Christ, cette certitude de sa victoire finale, définitive, totale, de cet accomplissement de toute chose en Lui. Mais, pour le moment, nous vivons plutôt un mystère de mort, un mystère de rétrécissement, un mystère de pauvreté.

Et alors, dans ce moment du soir, dans ce moment où l'on ressent davantage la solitude, dans ce moment où l'on se rend compte qu'on est peu nombreux, qu'on est peu de chose, qu'on ne compte pas beaucoup au niveau et à l'une des choses de ce monde, dans ce moment-là il y a un domaine qui est capitale, c'est de se tourner vers le Christ et de lui dire : "Reste avec nous, car il se fait tard, car c'est le soir !" Reste avec nous parce que c'est l'heure dangereuse, c'est l'heure des ténèbres, c'est l'heure où l'on a peur d'être seul, c'est l'heure où l'on sent le poids de la journée, le poids de la vie, le poids du péché. C'est l'heure où l'on est tenté par le découragement, peut-être le désespoir.

Et alors, il faut, comme le disait Isaïe, "chercher le Seigneur tant qu'Il est proche, nous approcher de Lui tant qu'Il se laisse trouver." Oui, le Seigneur est avec nous, sur la route, quelquefois à peine discernable, quelquefois totalement invisible. Son apparence ne nous est pas toujours familière. A certains moments, nous avons l'impression d'un étranger, mais Il est là, sur la route, avec nous. Et rien n'est plus important, rien n'est plus capital que de nous serrer près de Lui, que de le tenir par la main, que de Lui demander de rester avec nous, que de le chercher, pour le trouver, pour nous appuyer sur cette présence qui est notre seule force, notre seule espérance, notre seule certitude quand tout semble se désagréger autour de nous.

demandons-Lui de rester pour que nous ne soyons pas seuls et abandonnés au moment où nous sentons que le soir tombe et que l'heure se fait plus difficile.

Frère Jean-Philippe REVEL

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Rédigé par Philippe

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Publié le 11 Avril 2015

Rédigé par Philippe

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Publié le 11 Avril 2015

 

skype emoticons smile mon ami frère brunonis, mais je ne vois pas qui c'est; c'est dans l'anonymat. un très intime sûrement, il sort de table là, il va prier pour le petit placide.

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 11 Avril 2015

© karam alqoshy pour le petit placide.

4) Yezidi

Avant-hier 214 yézidis ont été libérés par Daech au sud de Kirkouk. Avec eux se trouvait un couple chrétien syriaque orthodoxe. Grâce à un ami de Fraternité en Irak, Matti, présent au moment de leur arrivée, ils ont pu commencer à raconter ce qu’ils ont vécu. Récit.

 

Chaque jour leurs geôliers qui leurs apportaient à manger leur disaient de se convertir à l’Islam, chaque jour ils ont refusé. Francis le redit : « plutôt mourir que de renier le Christ ». Durant cette longue captivité ils ont vu certains de leurs compagnons d’infortune yézidis être frappés et torturés mais ils ont été épargnés. Leur seul contact avec l’extérieur était leurs geôliers irakiens mais aussi tunisiens. Ils ont trouvé que les irakiens les traitaient beaucoup mieux que les tunisiens qui les traitaient de kafara « infidèles ».

 

fraternité en irak

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 10 Avril 2015

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PRIERE

en union avec les enfants du monde

Pour la paix, pour les prêtres

Seigneur Jésus, nous consacrons en ce jour à votre Amour miséricordieux le petit Placide , vous offrant chacun de ceux qui le lise, le soutienne, les moines, oblats et oblates,  prêtres,  nos familles et les leurs, les chrétiens d'Orient, leurs martyrs.  Prenez-nous en votre Coeur, attachez-nous indéfectiblement à vous, aidez-nous à vous servir, à vous faire connaître et à vous faire aimer.

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 10 Avril 2015

requiescat in pace

«Le Seigneur met fin à ses souffrances. Il (le cardinal Turcotte) a démontré comment la position de l'Église face à l'euthanasie est bien fondée. Il a accepté les soins palliatifs, il a demandé de s'en tenir à ça», a expliqué Mgr Couture. À 88 ans, l'homme d'Église soutient que le cardinal n'a pas souffert inutilement, qu'on lui a prodigué des soins de confort, mais qu'il n'aurait jamais accepté «la pratique qui permet de donner la piqûre létale». «Il a été un modèle dans la façon de vivre sa souffrance et pour ma part, j'en garde une édification très profonde», a-t-il ajouté. 

Mgr Couture et le cardinal Gérald Cyprien Lacroix, actuel archevêque de Québec, gardent un souvenir impérissable de leur dernière rencontre avec Mgr Turcotte, il y a quelques mois. Il était alors en pyjama, dans son lit d'hôpital. Il a enfilé une chasuble et a célébré une dernière messe en compagnie de ses confrères. Le personnel hospitalier l'a ensuite amené enfauteuil roulante dans une salle ou les trois hommes ont dégusté un lunch festif. Le cardinal Turcotte était alors très bavard. «C'est comme s'il avait été privé de parler avec des collègues, portant les mêmes préoccupations et la même foi (que lui)», a souligné Mgr Couture. 

Nommés archevêques le même jour, en 1990, dans leurs diocèses respectifs de Québec et de Montréal, Mgr Couture et Turcotte se sont côtoyés de près. Mgr Couture se rappelle un homme au langage parfois cru, qui dit avoir été élevé en partie dans la rue. «Il n'avait pas à se forcer pour être proche du monde.»

 

Mgr Lacroix considérait le cardinal Turcotte comme un mentor, qui était très enraciné, très attaché aux gens de son diocèse, à Montréal. «Il disait: «Quand faut que j'aille à Rome, je traîne pas», se rappelle-t-il.

«Un gars extraordinaire», selon le maire Labeaume

En mêlée de presse mercredi matin, le maire de Québec Régis Labeaume a souligné qu'il ne connaissait pas beaucoup le cardinal Turcotte, mais qu'il l'avait «beaucoup aimé». Le dernier souvenir qu'il garde de lui date de l'an dernier, alors qu'ils étaient en voyage à Rome pour célébrer la nomination de Gérald Cyprien Lacroix comme cardinal.

Les trois hommes ne voulaient absolument pas manquer le match de hockey du Canada, au cours duquel l'équipe a remporté la médaille d'or aux Jeux olympiques de Sotchi. «Je nous vois au bar, le cardinal Lacroix, le cardinal Turcotte et moi, et on regardait la dernière période.» Le maire Labeaume se souvient d'un «gars extraordinaire, qui avait «les deux pieds sur terre et qui «rigolait tout le temps»

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Publié le 10 Avril 2015

 

 

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Quand nous entendons ce mot: dimanche in albis, nous nous représentons quelque chose de clair et de blanc. Nous pensons aux premiers communiants, vêtus de blanc. Nous pensons aux jardins qui, en ce moment, ont leur parure de fleurs blanches. Ces deux images sont tellement associées pour nous au dimanche blanc que nous le considérons comme un jour vénérable et saint.

Mais d'où vient ce nom: dimanche blanc?

Comme on le sait, les catéchumènes, après leur baptême recevaient un vêtement blanc et un cierge allumé. Ils sortaient ensuite de la chapelle baptismale et entraient dans l'église pour assister, la première fois, à la messe.

L'habit blanc était le symbole de l'innocence et de la grâce baptismales. Les premiers chrétiens tenaient beaucoup à conserver l'innocence baptismale jusqu'à la mort.

Les néophytes étaient les enfants privilégiés de l'Eglise. Pendant la semaine, ils assistaient chaque matin à la messe, vêtus de leurs habits blancs; le soir, ils faisaient une procession aux fonts. Il étaient dans la communauté chrétienne une prédication vivante; ils annonçaient que les chrétiens sont ressuscités avec le Christ à une vie nouvelle. Le samedi après Pâques, ils venaient une dernière fois avec leurs habits blancs, dans l'église baptismale. C'est là qu'ils déposaient leurs habits que l'on conservait dans la chambre du trésor. Ces habits devaient être un souvenir de leur baptême et, en même temps, un gage de leur fidélité aux promesses du baptême.

 

Dom pius parsch

 

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Publié le 9 Avril 2015

Rédigé par Philippe

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